Sapristi ! C’est déjà la rentrée !

Nous y voilà, la rentrée est là ! Et avec elle, le retour au travail et à la routine. Pour affronter ce retour au quotidien, j’ai écouté plusieurs podcasts sur le travail et une question fondamentale a émergé : est-ce que le travail a encore du sens aujourd’hui ?

De nombreux témoignages révèlent une insatisfaction croissante face à la centralité du travail dans nos vies. Entre burn-out, quête de perfection et pression sociale à la réussite, beaucoup se demandent si l’épanouissement personnel ne se trouve pas ailleurs.

Certains podcasts, comme Travailler a-t-il un sens ?, montrent à quel point le travail peut devenir une routine dépourvue de signification. Beaucoup cherchent du sens dans des activités en dehors du travail, dans des projets personnels ou créatifs. D’autres, comme Faut-il vraiment réussir sa vie ?, questionnent les injonctions à la réussite qui pèsent sur nous depuis l’enfance. L’idée que l’épanouissement ne passe pas uniquement par le succès professionnel est de plus en plus acceptée, encourageant à redéfinir ce que signifie réellement « réussir ».

Face à ces réflexions, le concept japonais d’ikigai apporte une perspective différente. Il nous invite à trouver un équilibre entre ce que nous aimons, ce pour quoi nous sommes doués, et ce dont le monde a besoin. L’ikigai nous rappelle que le travail n’est qu’une composante parmi d’autres dans la quête de sens et que l’épanouissement peut être nourri par des passions et des liens humains, en dehors du cadre professionnel.

Pour conclure, Il devient évident que notre relation au travail mérite d’être repensée. Plutôt que de le considérer comme l’unique voie vers la réussite, il est temps de lui redonner une place plus équilibrée dans nos vies. À travers des concepts comme l’ikigai, nous pouvons envisager un modèle où le travail n’est plus une source de pression constante, mais une part d’un tout qui contribue à une vie épanouie et pleine de sens.

Retrouvez une sélection de documents sur cette thématique au Site Riponne de la BCUL, à l’entrée de l’Agora du 23 septembre au 25 octobre.