Le haïku pour écrire le vivant ?

Né au Japon, il est, depuis plus d’un siècle, emblématique de la littérature mondiale. Traditionnellement lié à l’écriture saisonnière de la nature, le haïku reflète notre manière d’être au monde. Face à des mutations irréversibles (réchauffement climatique, nucléaire), peut-il nous aider à (re)penser notre relation au vivant, à tisser d’autres liens ?

Magali Bossi, docteure en langue et littérature française à l’Université de Genève, musicienne et autrice, est passionnée par le Japon et a consacré sa thèse au haïku. Elle propose dans cet atelier une exploration ludique et accessible de cette forme poétique, entre vulgarisation et expérimentation.

Dès 14 ans, aucune pratique d’écriture préalable n’est requise.

Sur inscription dès le 24 septembre à manifestations@bcu.unil.ch

En collaboration avec les Écotopiales, festival des imaginaires écologiques